Quand Donnarumma joue à cache-cache avec son contrat…

Ah, les hautes sphères du PSG où rien n’est jamais trop calme! Cette fois-ci, c’est au tour de Donnarumma, notre géant italien à l’aura aussi étincelante qu’un pot de confiture vide, de remuer les feuilles de bananier. En quête d’un contrat qui ferait gonfler son portefeuille comme un ballon de baudruche un soir de fête foraine, le géant se heurte à ses dirigeants, au point que le club a mis la gomme sur un nouveau prince entre les poteaux : Lucas Chevalier. Le club parisien, comme un enfant dans une confiserie, s’est mis à scruter les étagères à gardiens et a fini par débusquer Chevalier, promettant un duel digne des plus belles joutes médiévales.

Du côté de Lille, Olivier Létang, tel un chevalier médiéval défendant ardemment son château de pâte d’amande, ne lâcherait son précieux que pour 40 millions de piécettes dorées, en galopant sur un cheval boiteux certes, mais toujours prêt à en découdre. Les champions de la capitale, leurs épées étincelantes prêtes à dégainer des chéquiers, préparent déjà les pourparlers avec Lille, dans l’espoir que Chevalier soit leur nouvelle sentinelle des filets. Un véritable vaudeville à la sauce footballistique qui se joue à gros jets d’euros!

Quant à Donnarumma, il se murmure dans les ruelles obscures des stades européens qu’il lorgne déjà du côté des deux mythiques Manchester. Mais chut! Tout cela reste entre nous et les pigeons qui veillent sur le Parc. En attendant, PSG négocie sous la table en velours du football mondain pour s’assurer que Chevalier arrive armé de gants magiques prêt à attraper la lune – ou à défaut, quelques ballons bien frappés – et ainsi, se lancer dans de nouvelles aventures palpitantes à Paris.