Le manège enchanté parisien continue…
À Paris, c’est la valse des entraîneurs, des dirigeants et des joueurs qui nous immerge dans une folle comédie de marionnettes ! Le grand chef Luis Campos toque encore sur les casseroles du PSG, malgré un avenir aussi flou qu’une photo de Yeti. Pendant ce temps, le pauvre Warren Zaïre-Emery, un titi du PSG, a vu sa carrière reculer aussi vite qu’un escargot en rollers. Après une superbe entrée en fanfare la saison dernière, sa blessure l’a transformé en joueur de puzzle, utilisé par intermittence par le chef Enrique. Mais pas de panique, il est jeune et encore plein d’épices prometteuses.
Pendant ce temps, dans le grand chapiteau parisien, Lucas Hernandez jongle avec son nouveau rôle de doublure porte-bonheur. Sa carrière incroyable a pris une tournure d’acteur de second rôle après une blessure digne d’un scénario hollywoodien. Pourtant, notre Lucas, tel un Bouddha zen, ne se laisse pas abattre. Il grappille des minutes et rêve de l’éclat final sur la scène européenne. Avec Hakimi, il est le sage du groupe qui éduque les jeunots, apportant calme et laitue dans le vestiaire !
Et puis, il y a les murmures nocturnes du Parc des Princes : « Campos prolonge-t-il ? Restera, restera pas ? » se chuchote-t-on de la Tour Eiffel à la Seine. Dans le monde du foot-parisieno-galactique, le suspense est écologique : il se recycle ! Pendant que Campos espionne les pépites italiennes comme un détective à l’affût, Paris se prépare à secouer le shaker des négociations pour établir des cocktails contractuels bien costauds. Attention, on murmure qu’une prolongation de Campus pourrait faire grincer des banquières !
