Un échange de bromélias en vue…
Dans un univers parallèle où les transferts de joueurs ressemblent à des échanges de cartes Pokémon étincelantes, le PSG prépare son marché estival comme on prépare une ratatouille : avec amour, précision et des légumes qui parlent brésilien. Lucas Beraldo, le défenseur central série Z de talent, regarde avec envie le calcaire anglais. « Pourquoi Bournemouth ? » entend-on déjà demander. Eh bien, pourquoi pas ! Même les stations balnéaires pluvieuses ont besoin de défenseurs chevronnés pour arrêter les ballons de plage perdus le long des côtes.
À la suite de leur défaite face à un Chelsea aussi impitoyable qu’une tasse de thé trop chaud renversé sur un troisième maillot neuf, le PSG songe à remanier l’orchestre. Les rumeurs de transfert hurlent comme un cor de chasse. Londres, Newcastle et Liverpool sont comme des chats curieux, chacun espérant que le PSG lâchera le bon morceau de mozzarella. Mais la danse la plus intrigante reste celle de Bournemouth – leur pizzaiolo cherchera à troquer quelques livrets sterling pour Beraldo, sous le nez des Reds qui lorgnent aussi le sprint final.
Pendant ce temps, le mystérieux Illia Zabarnyi, un Ukrainien déterminé à conquérir plus de têtes que de drapeaux de coin, semble prêt à rejoindre le PSG. Échangera-t-on quelques euros contre du talent à recrutements constants ? Paris plie, mais ne rompt pas, refusant d’ajouter une tomate de plus tant que les Anglais réclament 70 millions pour leur virtuose du tacle. Le bras de fer continue, plus épique qu’une partie de Jenga lors d’un dîner de famille. Seul l’avenir dira si Beraldo achètera son billet pour Bournemouth ou si le PSG mettra de l’ordre dans ce marché estival digne d’un one-man-show.