Luis Enrique et sa troupe en quête de célébrité éternelle…
Mesdames et messieurs, attachez vos ceintures en chewing-gum ! Le PSG, ou devrais-je dire, le catalyseur de rêves footballistiques, s’invite avec fracas à la Coupe du Monde des Clubs, prêt à réécrire le livre des records avec une plume en marshmallow. Luis Enrique, tel un chef d’orchestre qui transforme chaque tacle en symphonie, mène ses troupes au-delà des frontières de l’ennui !
Après avoir réduit l’Atlético Madrid en poussière de croissant avec un 4-0 éclatant, le PSG, ou le bulldozer en crampons, se prépare à écraser Botafogo au Rose Bowl de Pasadena. Avec un calendrier plus garni qu’une étagère d’épices, les Parisiens s’apprêtent à égaler le nombre céleste de 61 matchs en une saison, effaçant un record tristement installé depuis 1994-1995, à moins que la NASA ne décide d’intervenir pour stopper leurs exploits interstellaires.
Mais ce n’est pas tout ! Les 44 lauriers de victoires de la saison coulent comme le chocolat sur un éclair au café, prêts à pulvériser le palmarès de 47 succès de l’ère Laurent Blanc en 2015-2016. Et sur le front des buts, que dire ! Avec 156 filets déjà transformés en feux d’artifice, 16 réalisations supplémentaires leur feraient éclipser les prouesses d’Unaï Emery. Préparez le popcorn : la saga PSG ne fait que commencer !