Quand Doué devient le maestro du PSG…
Dans le théâtre des rêves footballistiques, il y a un nouveau Shakespeare du ballon rond nommé Désiré Doué, et il est regardé avec des étoiles dans les yeux par un certain Javier Pastore. Notre jeune héros tisse sa toile au PSG comme une araignée sur caffeinated espresso, faire du tricot avec des buts et des passes décisives comme si c’était de la sorcellerie moderne ! Avec son maillot n°14 brillant comme le feu des projecteurs, il danse sur le terrain, enchaînant les exploits à faire pâlir un kangourou bondissant.
Pastore, l’ancien artiste des pelouses parisiennes, a mis à jour son statut fanboy et fait partie du fan club ‘Douésque’. Et qui peut lui en vouloir ? Regardant le rejeton de Rennes se métamorphoser en une bête de scène, il fond tel un chocolat oublié au soleil. « Il me bluffe, » dit-il, les yeux étincelants. Doué casse les figurines en porcelaine des défenseurs, et joue à cache-cache avec l’ennui. Pastore le compare même à Neymar, c’est dire l’ampleur du compliment !
Le PSG, avec des attaquants aux talents dignes d’un spectacle de cirque, prouve à nouveau son statut de camp de rêves pour jeunes traqueurs de ballons fous. Doué, Dembélé, et les autres loustics de l’attaque jouent à qui veut devenir super-héros du match. Chaque action est imprévisible, comme un tour de magie qui transforme le match en un feu d’artifice spectaculaire. Les entraîneurs devraient prendre des notes : quand ces espiègles de l’attaque sont lâchés, le match prend une tournure fracassante et inoubliable !