Le héros au pied ailé est de retour…

Tel un phénix des pelouses revenu des cendres dorées de la Ligue des Nations, Nuno Mendes atterrit à Paris, sourire éclatant plus rayonnant que les phares de la Tour Eiffel. Avec une médaille au cou et des rêves grandioses dans la tête, le bouillant latéral gauche portugais pose ses crampons de gladiateur sur le sol parisien en proie à l’effervescence de la Coupe du Monde des Clubs, 2025.

C’est avec l’agilité d’un danseur étoile et la puissance d’un train à grande vitesse que Nuno Mendes a renversé l’Espagne lors de la finale, comme on renverse un verre de pastis par une chaude soirée d’été. Déclarant à la presse sa joie et son envie de sieste bien méritée, il évoque déjà ses futurs exploits qui, tel un croissant du matin, ne demandent qu’à être dévorés entièrement. Sa déclaration est aussi tranchante qu’un couteau à beurre : se reposer avant de partir à la conquête de la planète footballistique.

Pendant que sa cape invisible flotte au vent, le PSG, campé dans les starting-blocks du stade planétaire, s’apprête à défendre ses blasons comme un prédateur affamé. Le calendrier des joutes où résonneront bientôt les hourras débutera face à l’Atlético Madrid, comme si la fête foraine venait tout juste de déballer ses stands étincelants. Alors que Nuno Mendes se prépare pour cette épopée, le PSG espère que le jeune prodige pourra envoyer Paris au sommet du monde, avec la grâce d’un dauphin bondissant à l’apogée d’un spectacle océanique.