Mourinho Charme le Prince du Ballon à Paris…

Sous le ciel tourmenté de Paris, là où la Tour Eiffel guette les jonglages nocturnes, le mercato estival 2025 s’annonce aussi agité qu’une danse de flamenco sur une dalle glacée. Le PSG, avec la délicatesse d’un éléphant dans un magasin de porcelaine, tente de réorganiser son aréopage de talents, jonglant entre choix cornéliens et offrandes pressantes. Sur la scène, neuf « espiègles » joueurs sont de retour de leurs escapades prêtées, mais l’un d’eux, le brave Randal Kolo Muani, bataille encore vaillamment sur les champs de la Coupe du Monde des Clubs.

Entrez Marco Asensio, le filou espagnol qui a passé sa saison miroitante jouant au foot avec l’élégance d’un paon européen. Avec Aston Villa sur son dos, il a manié le ballon comme un troubadour de l’ère numérique, inscrivant 8 buts, et signant une passe décisive digne d’une peinture de Da Vinci. Mais voilà, son talent n’est pas suffisant pour se glisser dans les ambitieux plans de l’implacable Luis Enrique, aussi accessible qu’une étoile filante par nuit nuageuse.

Soudain, tel un lasso lancé depuis l’autre rive de la Grand Bleu, José Mourinho, l’incontournable sorcier des bancs de touche, aurait accueilli Asensio de ses bras tacticiens à Fenerbahçe. Le magicien portugais, armé de sa baguette de conneries mielleuses, le drague sans complexe, espérant ajouter à sa collection un joyau de plus. D’après les chroniques d’un certain Yağız Sabuncuoğlu, Mourinho et Asensio auraient partagé un café turc, entre deux éclats de rires et quelques promesses en sucre, marquant peut-être le début d’une saga rocambolesque digne des plus improbables telenovelas du foot.