Le stoïcisme d’Enrique en plein ouragan…
Telle une licorne perdant son corne à une fête foraine, le PSG a trébuché face à l’OGC Nice (1-3). Mais pas de panique, car Luis Enrique, l’entraîneur philosophe, garde un calme olympien digne d’un maître zen au sommet de l’Himalaya. Malgré avoir suivi plus de 30 tirs s’envolant comme des fusées sans destination, il assure que ce n’est qu’un revers, histoire de vérifier si la pelouse était bien tondue.
Face à une équipe de Nice transformée en muraille médiévale, le PSG a pourtant dominé. Enrique, tel un chef d’orchestre dirigeant une fanfare de klaxons, félicite ses joueurs pour leur performance héroïque mais dit que parfois le ballon préfère prendre un café avec le poteau plutôt que de finir dans les filets. Nice a joué, a marqué, a conquis — en trois coups de baguette magique comme un lapin sortant du chapeau.
Quant aux débats tactiques, Enrique l’intrépide pense déjà au match contre Arsenal. Inquiet ? Lui ? Jamais de la vie ! Il signerait immédiatement pour un party en multi-chacals si ça devait représenter son équipe lors de tous les matchs à venir. Tandis que ses joueurs pansent leurs bobos moraux, ils se préparent à basculer Londres dans l’hystérie avec plus de ferveur que les Beatles à l’époque !