PSG-Chelsea : Un dénouement haut en couleur…
Dans un stade où même les pigeons refusaient d’atterrir, le PSG a trébuché sur un Chelsea aiguisé comme un couteau à beurre en finale de la Coupe du Monde des clubs. Une défaite 3-0, où les Parisiens ont été aussi mobiles qu’une statue de jardin. Mais le vrai spectacle était en coulisses, mes amis ! Luis Enrique, tel un torero en furie, a décidé de danser le flamenco des gifles avec Joao Pedro, un moment digne d’un téléfilm d’action sur-gonflé.
Notre cher Enrique, clairement en quête d’un César pour son rôle de meilleur accessoire de comédie, a poussé la chansonnette en conférence de presse. Il a justifié son intervention musclée, affirmant vouloir disperser l’ambiance électrique et éviter que les joueurs ne se transforment en paninis grillés. « Nous aurions dû débrancher les tensions comme une vieille télé cathodique, » a-t-il lancé en arborant son plus beau sourcil en accent circonflexe.
Alors que le monde se demande encore si Luis Enrique a des gènes de judoka cachés sous son humanité de technicien, la seule certitude est que le PSG a fasciné par sa capacité à transformer un terrain de football en terrain de lutte. Vive le sport, où la défaite se conjugue avec précision et le geste excessif se crie dans un soupir !