Les maillots, les stars et la Californie…
C’est un tsunami hispanique qui déferle sur la capitale! Luis Enrique, nouvellement couronné roi des Rouge & Bleu, est célébré comme un super-héros venu du futur avec des bottes en argent. La presse française l’érige au rang de divinité du football après un exploit digne des plus grandes épopées : offrir au PSG sa première Ligue des champions. Tandis que Perlimpinpin, la mascotte du club, pense à l’introniser « Seigneur des Grigris », une enquête montre que 31% des fans estiment que toute cette couronne de laurier lui revient. Tranquillement, Enrique met tout le monde d’accord, même ceux qui n’ont jamais osé rêver.
Maintenant aux États-Unis, le PSG débarque en Californie avec l’assurance d’un conquérant romain et la gourmandise d’un gamin dans une usine de chocolat. Le New Jersey est l’objectif final et entre temps, c’est la magie hollywoodienne qui est au programme avec la Coupe du monde des clubs. Dans leur quartier général sur la côte ouest, les Parisiens entendent bien prouver que le foot se joue aussi en dehors des terrains : activations marketing, danses salsa avec Pastore ou autographes chez Makélélé, tout y passe pour faire briller les étoiles parisiennes au firmament américain!
Mais pendant que les joueurs jonglent sous les palmiers, le maillot 2025-2026 du PSG crée des vagues aussi grandes que celles de la plage de Santa Monica. Avec son design entortillé façon Tour Eiffel, il fait réagir plus que l’orthographe du mot « hippopotame » au Scrabble. Brice, grand oracle des looks sportifs, voit en cela un bijou éclatant de tradition et d’audace. Cependant, Emmanuel ne voit que des grilles, pas une Fashion Week. Mais finalement, n’est-ce pas là tout le charme de Paris ? Toujours à la pointe de la conversation et jamais en dehors des défilés, même sur le terrain de foot!