Enrique défie la pesanteur des pelouses…
Mardi soir, le Paris Saint-Germain se lance dans une odyssée spatiale sur la pelouse du FC Nantes pour rattraper la 29e journée de Ligue 1. Pour l’occasion, le commandant en chef, Luis Enrique, a pris la parole lors d’une conférence, esquivant les questions tel un danseur de flamenco sur burning coals. Face aux Toros jaunes, il promet du spectacle avec un PSG prêt à ramener la palme de plombée dans un match dodécuple serré. « Un match serré », prévient-il, abat-jour vissé sur le crâne.
Quant aux mésaventures vertigineuses à Saint-Étienne, Enrique, avec le flair d’un truffier en goguette, a condamné d’un geste majestueux les actions de l’indésirable spectateur. Dans son costume de maestro, il a souligné l’importance de la rotation, la jonglerie essentielle face à l’Arsenal bétonné, au son des carillons d’Anfield. « Il faut danser avec les étoiles de la Ligue des champions », clame-t-il, tandis que Pacho, commandant des cartilages, se dit prêt comme un pudding face à sa cuillère.
Et la fusée Nuno Mendes? Un phénomène de vitesse, un astropode galactique! « C’est mon avion de chasse préféré », s’écrie Enrique, et il jette des regards en coin à Ousmane Dembélé, persuadé que ce dernier va finir par dribbler ses propres lacets stellaires. « Ce sont les éclairs qui illuminent nos âmes », déclare le philosophe du banc de touche, avec des étoiles dans les yeux et une galaxie sous le bras.