Conférence de presse pas comme les autres…

Luis Enrique, l’entraîneur du PSG, s’est aujourd’hui transformé en marabout jongleur lors de la conférence de presse avant l’affrontement cosmique avec les magiciens de Botafogo. Dans la fraîcheur nocturne californienne (3h heure française, préparez le café !), nos héros parisiens s’attaqueront à l’Everest du foot brésilien, armés de leur volonté de fer et de leur cri de guerre : « On n’est pas venus ici pour cueillir des pâquerettes ! »

Interrogé sur la mystérieuse danse autour du Ballon d’Or, Luis Enrique, tel un chef d’orchestre un brin déjanté, a révélé son cœur d’artichaut pour Ousmane Dembélé tout en encensant sa troupe de gladiateurs : Vitinha, l’éclair de génie, Hakimi le bolide, Marquinhos le roc, et une flopée d’autres super-héros qui n’attendent qu’une chose : décrocher la lune dorée. « C’est le collectif qui compte, mes amis ! » a-t-il clamé, avant de jongler avec des oranges invisibles.

Pour finir, sur une note de samba, notre cher Luis a dansé autour du pot sur l’évolution du foot brésilien : « Il y a du carnaval dans leur jeu, mais pas de quoi déplumer un poulet ! » s’est-il exclamé, tout en louant ses fanatiques du ballon rond qui envahiraient les stades même pour une sieste collective. Bref, encourager ses troupes ? Un jeu d’enfant pour ce maestro au sourire éclatant !