L’aventure du conseiller sportif tourne en jus de myrtille…

Luis Campos est dans une situation aussi nouée qu’un spaghetti trop cuit. Alors qu’on l’attendait au PSG avec un contrat aussi long qu’un jour sans pain, il semble que l’accord ait été enveloppé dans un papier cadeau impossible à déchirer. Quel casse-tête ! On croirait presque un épisode de téléréalité où chaque directeur sportif devient un prince charmant en quête du Graal contractualisé.

Pour Luis Enrique, la prolongation de Campos est comme la dernière part de pizza lors d’une soirée entre amis : on la veut tous, mais personne n’ose en parler de peur d’en subir les conséquences. Les supporters du CUP lèvent les bras et chantent comme s’ils essayaient d’invoquer un contrat venu du ciel. Pourtant, les coulisses de ces négociations sont aussi lisses qu’une patinette à réaction sur un lac gelé. Le suspense est électrique, et tout le monde retient son souffle, sauf peut-être les mouettes au-dessus du Parc des Princes.

L’avenir de Campos, c’est comme s’accrocher à un parapluie pendant un ouragan. Aussi sûr que le pastis gagne à être dilué, rien ne garantit que Campos continuera au PSG. Les tractations sont rythmées par un tango où chacun chante sa propre chanson. Et pendant ce temps, le célèbre conseiller regarde l’horizon, se demandant s’il finira dans un film à rebondissements ou coincé dans un ascenseur émotionnel.