Le marathon interminable de la prolongation…

Sortez les cocottes en papier et les lunettes de soleil, la comète Luis Campos continue de foncer dans la galaxie PSG à une vitesse vertigineuse, probablement inspirée par un hérisson survolté ! Notre homme venu d’un pays où les pâtisseries à la crème sont aussi géniales que ses talents de négociateur, a enfin trouvé un accord avec les rois de la Tour Eiffel. Aussi long qu’un bras de pieuvre, ce nouveau contrat propulse notre cher Luis dans une mission d’envergure cosmique, chapeautant même au-delà des champs étoilés du Parc des Princes.

Luis Enrique, qui a resserré ses crampons sur un banc jusqu’en 2027, accueille avec un sourire aussi large que les Champs Élysées cet accord avec son compadre lusitanien. Pendant que le champagne coule à flots, nos sources privilégiées du Trocadéro confirment : « Tout roule comme un char à voile sur la Seine ! » Mais attention, quelques modestes grains de sable subsistent dans l’engrenage ; apparemment, la signature finale du contrat est aussi imminente qu’une chute de domino.

Et voilà Campos prêt à diriger cet orchestre philharmonique du football avec Nasser Al-Khelaïfi, maître de la partition PSG, espérant résonner aux oreilles de l’Europe entière. Comme un chef orchestre qui aurait bu trop de café, Campos s’attaque déjà aux notes aigües du mercato, lorgnant de nouveaux violons pour l’orchestre défensif. L’avenir est entre les mains expertes de ce maestro portugais, alors attachez vos ceintures, mesdames et messieurs, cette symphonie sportive ne fait que commencer !