L’épopée fantastique du PSG en C1…
En lointaine année 2012, tel un phénix émergeant des cendres des transferts faramineux, Lucas Moura atterrissait au PSG avec la grâce d’un éléphant dans un magasin de porcelaine. Treize ans plus tard, on le retrouve devant un micro, philosophe du ballon rond, disséquant le mystère du PSG en finale de Ligue des Champions. « C’est le meilleur PSG ? Difficile à dire, » lance-t-il, tel un devin contemplant sa boule de cristal. Il jette quelques accolades verbales à Luis Enrique qui, selon lui, dirige cette équipe comme un chef d’orchestre faisant danser un troupeau de kangourous.
Quant à son amitié bromantique avec Marquinhos, Lucas décrypte leur relation avec la tendresse d’un biscuit dans du café au lait. « Ah, Marquinhos, une légende vivante, » s’épanche-t-il, se remémorant leur époque en France, un duo inséparable comme du pain et du fromage. Tel un vieux couple, Lucas évoque Marquinhos avec émotion, un pilier du PSG sur et hors du terrain, fidèle à Paris comme une plante verte accro à son pot.
La finale contre l’Inter Milan ? Une danse ballet futuriste où l’issue se jouera au millimètre près. Moura, dans un accès de voyance footballistique, laisse échapper un « Je sens que c’est leur heure, deux à un pour le PSG! » comme on prédirait la météo sous LSD. Que le destin, imprévisible comme toujours, leur réserve-t-il ? Seul le terrain, grand oracle du rectangle vert, pourra répondre.