Un festival de talent à l’Allianz Arena…
La scène était prête, et les magiciens du Paris Saint-Germain ont enfilé leurs costumes étincelants pour redéfinir le mot ‘spectacle’. Au bord du précipice footballistique, les Portugais du PSG se sont transformés en héros nationaux, au point qu’on pourrait les confondre avec des personnages de bandes dessinées extraordinaires. À Munich, là où les bretzel volent plus bas que les ballons, le Portugal a eu raison de l’Espagne aux tirs au but. Une victoire qui ferait rougir d’envie une tomate andalouse !
Parlant de superhéros, Nuno Mendes, l’astéroïde du PSG, a pris ses congés de la réalité en envoyant un ballon aussi précis qu’un GPS dans le filet, et servant un caviar à Ronaldo digne d’un banquet royal ! Acclamé non pas par un, mais par deux éléphants enflammés, ce jeune joueur a marqué, s’est célébré et a reçu plus d’éloges que de tweets d’admiration. « Une légende vivante, à 19 ans seulement ! » aurait crié la foule, si elle avait été présente. Paulinha, tout en poète fébrile, a loué Mendes comme le meilleur arrière latéral jamais vu, alors que les oiseaux encore endormis célèbrent son nom.
Pendant ce temps, dans le campement de presse, Ruben Dias, tel un sage au sommet de la montagne, a parlé de Vitinha, un autre virtuose du PSG, comme d’un potentiel lauréat du Ballon d’Or : « Si Machines à Rêves Corporation existait, Vitinha en serait le PDG ! » a-t-il plaisanté. Cette déclaration, aussi brillante qu’un soleil à minuit, fait écho à la performance collective du PSG. À croire que la saison ressemble à un conte fantastique où chaque joueur pourrait gagner une médaille d’or. 🎨 À votre tour de rêver, chers lecteurs !