Les clubs de Ligue 1 montent au créneau pour dire « Non au piratage » …
Paris s’échauffe ! Ce vendredi 14 mars, juste avant le coup d’envoi de la 26e journée de Ligue 1 — une époque où même le suspense du stade ne peut rivaliser avec celui du popcorn devant Netflix — tous les clubs ont décidé de sortir les banderoles pour dire au revoir au vilain pirate des salons : le piratage ! Oui, mes amis, même le Paris Saint-Germain pousse son ballon pour une noble cause.
Dans un élan de solidarité cité dans les manuels d’histoire footballistique, 18 clubs de Ligue 1 ont actualisé leur statut sur X (non, pas l’ancienne boule disco mais un réseau social moderne) pour inviter les fans à délaisser les streams douteux pour des offres de streaming bien propres, bien légales. Parce qu’après tout, « l’amour du foot, ça se chine pas sur le marché noir », comme dirait ma grand-mère. Et hop, un petit tacle à l’aveugle contre les voleurs de pixels.
Mais ce n’était pas sans raison. DAZN, l’oncle ronchon du streaming, avait leurs soucis avec les vilains torrents qui syphonnaient l’exclusivité comme on siphonne l’essence au rallye. Mettant sa Tricoteuse à la manœuvre, DAZN espérait que la Ligue s’habille de sérieux pour redorer son blason numérique. Brice Daumin, leur voix en France, nous fait la comparaison, « En Italie, c’est 18.000 liens bloqués en un week-end, contre 5.000 en trois ans ici… Une stratégie dont il tire une cocotte-minute prête à imploser si le robinet numérique ne se resserre pas. » Plat du jour ? Abonnements légaux avec un goût de victoire pour tout le monde !