Le joyeux banc d’orchestre de Lee…
Imaginez, chers amis du foot, un fan de roller coaster, les cheveux au vent, savourant l’ivresse du grand huit sans même y monter ! Eh bien, c’est exactement ce qu’a vécu notre maestro du banc, Lee Kang-in, lors de la mémorable finale de la Ligue des Champions contre l’Inter Milan ! Luis Enrique, tel un chef d’orchestre scandinave déchaîné, a utilisé Lee comme un jongleur utilise son cerceau : souvent, mais pas tout le temps ! Pourtant, ce 31 mai restera gravé dans le marbre de ses souvenirs comme une victoire à la sauce chocolat noisette.
Senny Mayulu bousculant l’ordre établi tel un matador dans un magasin de porcelaine, Lee n’a pas joué lors de cette finale flamboyante, mais qu’à cela ne tienne ! Notre héros préférait de toute façon admirer de loin la coupe, pesant plus lourd qu’un hamburger XXL avec supplément de frites. Il s’est confié, à Adidas, préférant soulever le trophée plutôt qu’une plume… ou qu’une plume avec un trophée ! Un rêve éveillé qu’il a vécu avec une joie de gamin devant son premier paquet de bonbons.
Maintenant, Lee, coiffé de sa casquette invisible de travailleur acharné, promet de bosser plus dur qu’un hamster dans sa roue. Son objectif ? Gagner du temps de jeu pour ajouter bientôt non pas une ligne, mais une saga complète à son CV. Bref, il l’annonce haut et fort : la prochaine finale, c’est ballon aux pieds qu’il souhaite la galoper, pas seulement avec la pelle et le seau sur le banc de sable !
