Luis Enrique transforme PSG en télé-réalité…
Les coulisses du PSG se sont métamorphosées en un théâtre burlesque où l’harmonie effrontée règne en maître. Luis Enrique, le chef d’orchestre au sifflet vibrant, a troqué les divas contre une chorale de jeunots pleins d’avenir. Fini l’époque des ego plus gonflés qu’un ballon. Aujourd’hui, c’est une joyeuse kermesse de passé simple et d’entente cordiale où chacun fait glisser sa chaussette de velours sans se jouer des croche-pieds à l’espagnole.
Imaginez un vestiaire qui ressemble à une succursale de l’ONU en miniature, moins les traducteurs, où tout le monde se comprend par des sourires aussi vastes qu’un terrain de rugby. Les Portugais renforcent leur solidarité ibérique avec des tapes amicales sur l’épaule, pendant que les jeunes autochtones, fraîchement sortis des pampas parisiennes, se rappellent les duels épiques au Camp des Loges en se lançant des bouteilles d’eau comme d’autres jonglent avec un ballon.
Même les têtes de mules hispaniques, du discret Pacho au malicieux Donnarumma, savourent la trêve cordiale dans ce zoo sans barreaux. Kvaratskhelia, le Géorgien aux mille câlins, est passé maître dans l’art du papillonnage social, virevoltant d’un groupe à l’autre avec l’enthousiasme d’un kangourou en plein Paris. Il ne manque plus qu’un générique et un public pour applaudir — voilà votre PSG en prime-time !