Luis Enrique, l’homme qui murmure à l’oreille du championnat…

Ah, le PSG, ce petit teckel devenu un mastodonte chantant sa joie devant des supporters en extase ! La victoire contre Angers (1-0) fut le tam-tam final de cette samba magistrale qu’est le championnat de France. Luis Enrique, le maestro à la baguette, déjà frétillant comme un poisson aux écailles dorées, savoure ce 13e sacre comme un enfant devant un buffet chocolaté.

Imaginez un Luis Enrique porté triomphalement comme un trophée de pêche par ses joueurs, avec champagne coulant à flots comme une cascade de bulles joyeuses. Ses paroles, sucrées comme un macaron à la pistache du quartier Latin, révèlent sa fierté de voir ses supporters avec un sourire plus large que Notre-Dame. « Merci pour le soutien », qu’il clame, et voilà qu’il grave l’histoire du ballon rond dans la pierre eiffelienne.

Avec une équipe pimpante comme une équipe de mariachi un jour de fête, Enrique a façonné une troupe qui ne fait pas que jouer au foot, elle danse avec le ballon ! Une danse si envoûtante que même les non-PSGistes esquissent un chin-chin d’admiration, transformant des cœurs de pierre en cœur d’artichaut. Voilà, messieurs-dames, le PSG sur les traces de la Tour Eiffel, éblouissant Paris et le monde.