Quand un Argentin rêve de tour Eiffel…
Dans onze jours, les dieux du football nous gratifieront de leur courroux cataclysmique sur le grand théâtre de la Ligue des Champions. L’Inter Milan, mené par le redoutable Lautaro Martinez, se prépare à en découdre avec le PSG, notre équipe de choc et d’astres scintillants. L’UEFA, non content de son rôle d’observateur céleste, a décidé de soumettre Lautaro à la question, lui demandant ce qu’il pensait de tout ceci. Et que nous dit notre ami Lautaro ? Eh bien, ses genoux s’évaporeraient presque à l’idée de revenir sur ce champ de bataille épique où il compte bien décrocher les étoiles !
Lautaro Martinez, tel un marin aguerri face à l’orage, sait que les émotions seront au rendez-vous, plus denses qu’un croissant au beurre trop cuit. Déjà marqué au fer rouge par une cuisante finale perdue à Istanbul en 2023 et des aventures catapultiques en Coupe du Monde, le voilà prêt à s’embarquer pour une nouvelle chevauchée fantastique. À l’UEFA, il confie qu’une victoire serait aussi douce qu’un caramel au beurre salé, prêt à fondre sur sa langue. Mais chuuut, il n’ose même pas y penser, de peur que le rêve ne s’évapore comme une bulle de savon.
Entre deux bouffées de stress et un soupçon de folie, Lautaro espère décrocher enfin ce Graal qui manque à l’Inter depuis aussi longtemps que les dinosaures peuplaient Paris. Mais restez attentifs chers lecteurs, car le 31 mai, c’est non seulement une finale, mais aussi une épopée, une odyssée où héros et légendes s’affronteront pour inscrire leurs noms en lettres dorées au panthéon du ballon rond ! Alors préparez les popcorns, ça va être épique, et ne râtez pas une goutte du spectacle qui s’annonce aussi savoureux qu’une bière fraîche en terrasse au coucher du soleil.