La Juve Pleure Son Portefeuille…
Dans le grand cirque du mercato, où les ballons se transforment en bananes volantes et les négociations en marathon de limbo, l’affaire Kolo Muani ressemble à une gigantesque partie de poker menteur. Le Paris Saint-Germain, tel un dragon crachant des chiffres ronds comme la Terre elle-même, espère s’envoler sur le dos d’un contrat juteux. Pendant ce temps, la Juventus, perdue dans un dédale de négociations complexes, espère tirer son épingle du jeu sans se faire plumer.
De retour des terres italiennes après un prêt, Randal Kolo Muani est désormais un poisson tropical dans les eaux glacées de la capitale française. Notre héros du jour ne figure pas dans le grand livre des futurs plans de Luis Enrique, comme un cheveu dans la soupe du PSG. La Juve, flairant l’occasion comme un ténor flairant une annonce de soldes, aimerait le récupérer, mais sans vendre son âme au diable de l’économie moderne.
La danse des chiffres continue, avec des rebondissements dignes d’une série télévisée. Le PSG propose un prêt pimenté d’une obligation d’achat à 50 millions d’euros. « Vieux et fouette-moi ! » disent les tifosi de la Juventus, préférant une option douce comme une mozzarella. Finalement, l’obligation est acceptée, mais seulement si le nombre de buts de Kolo Muani éclipsait celui de la Tour de Pise. Les discussions sont chaudes comme une pizza four à bois, mais l’empire italien, mené par Damien Comolli, continue son bras de fer aussi féroce qu’une danse napolitaine endiablée.