La saga rocambolesque de Kolo Muani…

Le mercato footballistique nous offre une telenovela aussi palpitante qu’un épisode de Star Wars : Kolo Muani, pris dans un feuilleton digne d’un soap opéra brésilien, pourrait bien poser ses crampons sur le sol italien plus vite qu’un pack de pasta se termine à une fête de nonna ! D’après les rumeurs distillées à la vitesse d’un espresso, les tintamarres médiatiques murmurent que le PSG et la Juventus ont enfin réussi à aligner leurs horoscopes financiers.

Comme un match de ping-pong diplomatique entre deux grands-mères jouant leur ragoût de famille, Luis Enrique, le Maître du Parc, a décidé que Kolo n’était pas la tranche de jambon qu’il cherchait pour son sandwich footballistique. Pendant ce temps-là, à Turin, la Juventus, le club plus toqué qu’un chef napolitain, tente de concocter une recette magique pour acquérir Kolo sans vider son tiramisu bancaire. Ils proposent une formule mi-prêt, mi-vent ; une danse en trois temps où tout le monde espère ne pas marcher sur les pieds des autres.

D’un côté, Paris rêve d’un gros chèque à la hauteur de ses macarons, tandis que la Juve rêve d’une option d’achat douce, surtout si les astres de la Ligue des Champions brillent sur elle. L’affaire pourrait tourner comme une pizza quatre-quarts : délicieuse si bien cuite, indigeste si brûlée ! Manchester, avec son nez aussi fin que celui d’un vinyle rétro, pourrait bien embouteiller tout ça, mais Kolo, entre nostalgie et ambition, pourrait bien se décider avant que les piques du mercato ne se referment comme les portes d’un panettone en rabais.