Enrique fait jouer au foot à l’envers… et ça marche !…
Ah Paris, la ville des lumières et, visiblement, des philosophies de foot extraterrestres ! À la veille d’un choc titanesque PSG-Arsenal en demi-finale de Ligue des Champions, Joao Neves, néo-shérif du Parc des Princes, s’est laissé aller à des confidences croustillantes. Luis Enrique, le souverain des bancs de touche, est atteint de la spectaculaire maladie des pourcentages fous : il réclame 100 % en attaque et 120 % en défense ! Oui oui, vous avez bien lu, comme si les maths avaient décidé de faire une pause.
Neves, tel le don Quichotte des pelouses, vante ce mélange magique qui oblige les adversaires à rendre le ballon plus vite qu’une pizza livrée en retard. « Tu perds le ballon et panique pas, faut sprinter comme si t’avais des feux d’artifice dans les pieds ! » semble être le nouveau mantra du gaillard, dont le numéro 87 n’a jamais eu autant de sens — peut-être même la température en degré de sa passion pour le jeu !
Mais attendez, ce n’est pas tout ! Enrique, alias l’architecte du chaos organisé, fait de ses joueurs des demi-dieux polyvalents. Neves, avec la dégaine d’un couteau suisse en short, passe de défenseur central à ailier en un clin d’œil, comme si le stade tout entier n’était qu’un grand Rubik’s Cube. Voilà de quoi faire tourner en bourrique les meilleurs stratèges de l’univers foot !