L’Inter et Naples à la sauce spaghetti…
Amis du ballon rond, tenez-vous bien, car le derby italien du stress se joue entre l’Inter Milan et Naples ! À huit jours du grand gala footbalistique au sommet contre le PSG, l’Inter se bat bec et ongles pour glaner la Série A tel un pirate cherchant l’île aux trésors sans carte. Leurs prières ressemblent à celles d’un étudiant espérant que son prof soit en panne d’oreiller à l’heure du contrôle : ils comptent sur un faux-pas des Napolitains, leaders par un cheveu en spaghetti.
Là où le maillot pèse aussi lourd qu’une armure médiévale, Simone Inzaghi, tel un chef d’orchestre, tient en réserve ses virtuoses blessés, Lautaro et Frattesi, cachés sur le banc comme des jokers dans un jeu de cartes. Le plan de Simone : jouer comme s’il dansait une valse lente, mais attention, pas trop, car un certain Marcus Thuram, en panne de buts comme un jongleur sans balles, espère sortir du sommeil et embraser les filets avant le duel contre les Parisiens.
Pendant ce temps, à la Gazzetta dello Sport, Dembélé est déjà couronné roi du ballon doré avant même la finale, un peu comme un chef pâtissier mettant la cerise sur le gâteau dès que la pâte est étalée. Entre courses au Ballon d’Or, stratégie de dernier match et envie de victoire, il faudra bien plus que du beurré sur les tartines pour connaître l’issue de ce championnat italien qui promet, comme le dirait un bon vieux tifosi, « une fin à couper le souffle comme un numéro de cirque ». Qui vivra verra !