PSG et Inter, deux jours avant le clash titanesque…

En plein conte de fées du football européen, les onze guerriers de l’Inter Milan se préparent tels des moines shaolins en retraite spirituelle, méditant sur leur triomphe imminent. Simone Inzaghi, grand orateur de la sphère footballistique, a déjà le parchemin du match en tête. Suspens à couper au couteau… mais avec un couteau en mousse, si vous voyez ce que je veux dire. En même temps, tout est déjà réglé comme du papier à musique — ou plutôt, comme un opéra italien hautement dramatique !

Pendant ce temps, tels des boy-scouts aguerris, les joueurs de l’Inter ont transformé leur centre d’entraînement en camp d’entraide pour guerriers fatigués. Rigomarole de stratégie et paix spirituelle sont au menu, avec une touche de pâtes bien al dente ! Et devinez quoi ? Benjamin Pavard, tel un phénix resurgi des cendres de l’infirmerie, sera au front aux côtés d’Acerbi et Bastoni, prêt à franchir la muraille PSG.

Et que raconte notre cher Vitinha, le numéro 17 du PSG, en file indienne de ses pensées ? Philosophant sur la force inaltérable de l’Inter, il avoue savoir qu’aucun favori n’est désigné, tel un film dont la fin changerait à chaque projection. En somme, nous avons devant nous une finale où le suspense peut se couper à l’argile, et l’enjeu est aussi électrisant qu’un café turc à l’aube !