Tempête légale pour le défenseur du PSG !…
Attention, lecteurs, tenez-vous bien, car nous allons embarquer sur le tourbillon judiciaire du prodigieux Achraf Hakimi. Notre défenseur du PSG, aussi rapide qu’un guépard chaussé de Nike, fait face à des accusations de viol, façon tsunami sur un terrain de foot ! L’histoire commence en février 2023, lorsqu’une plainte dégringole plus vite qu’une cheville dans un corner mal négocié. Oui oui, vous l’avez bien lu. Pas de but ici, juste une accusation qui pourrait bien valoir à Hakimi une carte rouge légale pouvant aller jusqu’à quinze ans derrière les barreaux. Au menu : des SMS extrêmes, des discussions Instagram pas très « socckées » et un mystère larmoyant qui se balade dans les cours de justice comme un ballon capricieux.
En épilogue fracassant et moins poétique que la plus timide des biscottes lors d’un clasico, les versions de l’histoire diffèrent autant que le PSG et l’OM les jours de derby. Quand les déclarations de la plaignante se métamorphosent vers des revendications de viol, une contre-attaque narrative d’Hakimi suggère une farce digne des plus fous sketches sur le terrain. « Quand je dis caresses, je ne parle que de métaphores ! », s’exclamerait Hakimi avec panache, argumentant que les gestes en question n’étaient que la mise en jambe pour un match de charades consentantes.
Finalement, c’est au juge d’instruction de donner le coup de sifflet final dans ce match juridique qui s’éternise. Tandis que le PSG passe en mode annulation de tournoi, s’en remettant à la confiance infinie en dame justice, ses supporteurs mordent leurs ongles plus vite qu’un Ronaldo sur penalty ! Et tout cela sous l’œil sceptique d’une équipe d’avocats échauffés comme des gardiens avant un tir au but. Pour les passionnés du PSG, l’attente se tend comme une ligne de hors-jeu. Allez, on va bien finir par marquer un but juridique, non ?