La joie en délire de Galtier…
Imaginez Christophe Galtier, notre entraîneur volant de la saucisse du foot, tranquillement en PLS devant sa télévision, une tartiflette à la main et un coq chantant à son oreille. Voilà un homme comblé par la magie du PSG qui a terrassé Arsenal tel un simple jeu de mikado à faire frémir Hercule lui-même ! Et tout ça, pour décrocher un ticket en or 24 carats pour la finale prestige-baguette de la Ligue des champions. Un moment de gloire à inscrire dans le Hall of Fame des éclats lyonnais… ou parisiens, qui nous verra affronter nul autre que l’Inter Milan.
Mais attendez, ce n’est pas tout ! Car sous son béret imaginaire et sa marinière intérieure, Galtier ne cesse de louanger Enrique, ce stratège espagnol en sandales qui a non seulement mené le navire parisien jusqu’en demi-finale mais maintenant en finale, prouvant que la sangria n’a pas de secret pour lui. Puis vient la pépite d’or : un Galtier glorifiant M. Nasser al-Khelaïfi, l’homme qui lui-même aurait pu conquérir l’Amérique du Nord avec un simple dé à coudre !
Et en guise de feu d’artifice, notre cher Christophe, tout en suçant son pouce de bonheur, s’empresse de déclarer que Paris et la France méritent cette distinction céleste. Du bout de ses babouches, il félicite ses anciens espoirs tout en pétrissant des mots de larmes heureux, presque plus magiques que la découverte de la baguette volante. Ah, la gloire du foot à la Française, soupe au poireau et sourire ému inclus, parce qu’ici, on ne rigole pas avec le pain et la Ligue des champions !