Les médias italiens en effervescence…

Imaginez-vous au beau milieu d’une tempête de spaghetti volants! Voilà comment s’agite la presse italienne, en proie à une ébullition napolitaine à l’idée de cette finale PSG vs Inter qui s’annonce aussi chaude qu’un espresso brûlant. La Gazzetta dello Sport, ce matin, affiche un cri de guerre : « Tous pour un ! ». Un scénario à faire pleurer un oignon est envisagé : des tirs au but contre Donnarumma, l’homme araignée du PSG, dont les mains sont plus sûres qu’une pizza cuite dans un four à 1000 degrés. Mais attention, l’Inter n’est pas en reste avec Çalhanoğlu, dont le pied est aussi précis qu’un catamaran dans une baignoire.

Pendant ce temps, le Corriere dello Sport rêve à haute voix : « Ce soir oui, les astres sont alignés ! ». Après leur mésaventure de 2023, ils espèrent ne pas revivre une épopée grecque de chutes et rebondissements. Inzaghi, notre Ulysse moderne, prévoit de déployer sa flotte de vélociraptors ailés – Dimarco et Dumfries – sur les ailes, tandis que le PSG de Luis Enrique, tel un tableau de Dalí en perpétuelle mutation, cherche moins à écraser du pied que du ballon avec son 3-2 en patchwork.

Et les parisiens, alors? Eux, dans un concert de klaxons et de fous-rires, espèrent que Mbappé et ses amis danseront la Rumba des buts. La solidité de Marquinhos et les déhanchements de Fabian Ruiz pourraient bien transformer cette finale en un grand bal masqué où chaque passe trouvera son partenaire. Dans cette danse endiablée, c’est de ce polygone de joueurs virevoltants que dépend une victoire possible. Mais, comme disent les savants fous, le football est aussi une alchimie de dernières minutes!