Un duel galactique contre les perroquets…
Ah, mes chers aficionados du ballon rond, préparez-vous pour une épopée digne des plus grands mythes grecs! En plein cœur de la Coupe du Monde des Clubs, notre héros Denzel Dumfries, tel un Achille déchaîné, a plongé dans les méandres de ses souvenirs footballistiques lors d’un entretien à la Gazzetta dello Sport. Avec la solennité d’un hibou perché, il a bravement évoqué l’apocalyptique défaite de son Inter Milan face aux Parisiens galactiques, un 5-0 aussi sec qu’une biscotte abandonnée en plein désert. C’était une finale à la tension digne d’un épisode final de série télévisée, et pourtant, pas de happy end en vue!
Selon notre vaillant latéral droit néerlandais, ce fut une journée où les buts pleuvaient comme des confettis lors d’un carnaval brésilien. « Ou tu gagnes, ou tu pleures », a-t-il murmuré d’un ton philosophique, imitant ainsi les lions empaillés de la savane. Quant aux rumeurs sur Inzaghi, elles résonnaient dans leurs têtes comme un concert de klaxons par jour de derby à Milan. Ces bruits de couloirs ont peut-être joué les trouble-fête, mais Dumfries assure que dans les pensées des joueurs, seul le PSG devait finir en rôti bien cuit.
Et que dire de la crème des latéraux? Dumfries n’a pas hésité à brandir Hakimi comme un roi trônant sur un nuage de génie. Dans une touchante conclave de modestie, il s’essaie même à l’autocélébration, s’assurant une place parmi les étoiles jadis portées par des joueurs aussi illustres que les héros de BD. Voilà donc un chapitre de la Ligue des Champions qu’on n’est pas prêts d’oublier!