Luis Enrique jongle avec les choix…

Ce mercredi, à l’heure où même les croissants n’ont pas encore pris leur café matinal, le PSG s’apprête à affronter Aston Villa dans un duel de titans en Ligue des champions. Alors que les Parisiens déroulent leur tapis rouge, Luis Enrique, tel un chef d’orchestre pris dans un opéra de mimes, doit trancher entre deux maestros des ailes : Doué et Barcola. L’incertitude est plus palpable qu’un match de ping-pong sur la Tour Eiffel, et Marquinhos est bien décidé à faire l’école buissonnière sous le regard suspicieux du banc.

Ah, Beraldo, cet homme-orchestre que rien n’effraie, pourrait revêtir l’armure de capitaine. Pendant ce temps, Lee Kang-in se remet doucement, tel un escargot en talons aiguille, espérant rejoindre ses coéquipiers avant que les coqs ne chantent victoire. Les supporters croquent déjà leurs ongles comme des baguettes devant un escargot surprenant, se demandant si le discours de Luis Enrique rappellera les plus belles conférences de motivation.

Et Ousmane Dembélé, l’homme-fusée, s’élancera sûrement à la pointe de l’attaque. Sur les ailes, Kvaratskhelia galopera comme un taureau géorgien insolent. La tension monte plus vite qu’une baguette dans un four chaud, et Paris retient son souffle tandis que la décision de mettre en lumière Doué ou Barcola tourne dans l’air tel un frisbee enfiévré !