Le numéro 14 du PSG illumine le terrain…

Dans une rencontre digne d’un match entre dragons cracheurs de feu et licornes ailées, Désiré Doué, l’attaquant aux pieds dorés et à la vision téléscopique, a planté la première banderille contre le Bayern Munich. Le match, qui ressemblait plus à une danse effrénée de robots survoltés, a vu le PSG s’envoler vers la victoire, grâce à un Doué plus performant qu’un réveil un dimanche matin de grasse matinée.

Notre faux numéro 9 préféré, tel un caméléon footballistique, a varié de poste plus vite que l’éclair. Passe-partout ou messager du but, le joueur au sourire éclatant et aux jambes aussi rapides qu’un bolide, a ajouté une touche de magie à la rencontre. Hakimi, en partenaire complice, a orchestré une séquence rappelant les plus belles œuvres de la Renaissance, permettant à Doué d’ouvrir le score et de délivrer les Parisiens tel un super-héros encapé.

Interrogé après cette performance digne d’un opéra, Doué s’est improvisé philosophe du foot, détaillant sa méthode façon guide de la tontine offensive. Qu’il soit neuf, dix ou onze sur le terrain, ce D’Artagnan moderne s’adapte avec l’aisance d’un chat persan sur un canapé. Sa mission: dégoupiller les défenses ennemies et danser la carmagnole en demi-finale, sourire aux lèvres et crinière au vent. Bravo l’artiste!