L’épopée du mur de Milan au PSG…
Gianluigi Donnarumma, l’homme aux gants de fer et au regard de lion enragé, trône dans la cage du PSG tel un sphinx plâtré devant le but. Alternant entre les maladresses dignes d’un éléphant sur un trampoline et des parades de ninja, il rappelle à tous qu’être un champion c’est aussi avoir un caractère aussi dur que le marbre de Carrare.
Interrogé par beIN Sports, notre acrobate des buts ne mâche pas ses mots. « La cicatrice sur mon visage ? Rien du tout, c’est juste parce que je me jette face au ballon comme un chat sur un ficelle ! Mon objectif : que le ballon ne passe pas la ligne—sinon c’est la honte, non ? Les critiques ? Bah, c’est comme une mauvaise pizza, ça arrive ! » Tel un gladiateur des temps modernes, Donnarumma sait que pour dominer l’arène il faut du courage et beaucoup de pâte à modeler pour façonner son mental.
Après une rencontre épique contre Liverpool où les joueurs se sont poursuivis comme dans un vaudeville apparent, Donnarumma s’est redressé tel un colosse de Rhodes après un faux pas. « Le lendemain, je savais qu’on allait retourner là-bas et claquer la victoire. Avec une mentalité d’acier inoxydable, rien ne peut nous arrêter ! » Voilà le credo de notre portier, fier comme un coq des terres milanaises !