Quand football et comédie se rencontrent…

Imaginez un instant un match de foot où Donnarumma se transforme en croque-mitaine par accident. Un grand coup de vent, un nuage de poussière – et paf ! Jamal Musiala en ressort avec un tibia en dentelle de Chantilly ! C’est ainsi que, dans un sommet de l’art dramatique footballistique, le gardien du PSG réussit à allier l’élégance d’un ballet avec le suspense d’un film catastrophe. Heureusement, son agent Enzo Raiola, tel un chevalier en armure dorée, est venu brandir l’étendard de la défense dans la « Gazzetta dello Sport », clamant haut et fort l’innocence de son protégé.

Pendant ce temps, Donnarumma, plus secoué qu’une bouteille de soda secouée par un T-Rex en colère, appuie frénétiquement sur les touches de son téléphone. Bingo ! Le message d’excuses digne d’une comédie romantique s’envole vers Musiala. Enzo Raiola, usant de métaphores venues tout droit de l’époque médiévale, insiste: une fraction de seconde a suffi pour transformer l’œuf en omelette. Aux côtés de son poulain, Raiola rappelle qu’une prolongation de contrat est sur la table, un peu comme un banquet royal en préparation.

Les discussions se poursuivent sur l’avenir de ce prodige dont les arrêts pourraient être comparés aux exploits d’un super-héros sauvant l’humanité d’une chute de météores. Les ballons semblent rebondir sur lui comme des moustiques sur un vélux – indispensable selon Raiola pour le PSG. Ah ! Si seulement le prestigieux Ballon d’Or pouvait lui être accordé pour ses prouesses dignes des plus grands exploits mythologiques. Pour l’instant, le PSG aiguise ses plumes et s’apprête à signer le futur légendaire de leur colossale muraille.