Contractual Circus Parisien…

Dans le feuilleton épique des prolongations, Gianluigi Donnarumma, tel un chevalier en armure brillante sur son destrier parisien, continue sa croisade en terres de la Tour Eiffel. En fin de contrat en juin 2026, notre glorieux portier italien jongle avec les rumeurs comme un clown dans un cirque romain ! Malgré les tribulations salariales dignes d’une joute médiévale, il clame son amour inconditionnel pour Paris tel un Roméo des temps modernes : « Je suis prêt à tout, ô mon Paris chéri ! »

Mais voilà, un épais brouillard s’étend lentement sur le Parc des Princes, et les spéculations fusent comme des confettis en plein carnaval ! Les tribunes grondent de rumeurs d’un retour en Serie A digne d’Ulysse rentrant à Ithaque. Pourtant, tel un sage oracle grec, Enzo Raiola, son agent vaillant, dément ces histoires rocambolesques. Pas de retour en Italie, proclame-t-il, pas avant que le dernier croissant soit dégusté au petit-déjeuner parisien !

Le marionnettiste de ce théâtre qu’est le PSG, Luis Enrique, se voit encensé par Raiola pour sa gestion digne du meilleur chef d’orchestre. Enrique, l’homme pour qui les joueurs dansent aussi bien sur le terrain que lors de ses fameux jours de repos obligatoires. Ici, on célèbre la victoire en pyjama à la maison – oui oui – car après l’effort, place aux croissants et chocolat chaud ! On l’aime notre Enrique, presque autant que le pain au chocolat du coin.