Le gardien prêt pour un été de folie…
Les joueurs du PSG, alias les flèches bleues de Paris, sont attendus le 4 août au Campus de Poissy pour entamer la grande symphonie de la saison 2025-2026. Pendant ce temps, notre Titan italien, Gianluigi Donnarumma, joue à cache-cache avec le monde, jonglant entre les pizzas et les haltères en Italie. Tel un gladiateur des temps modernes, son destin est encore dans les limbes des contrats à rallonge, ses agents virevoltant tels des maestros de la paperasse.
En attendant, le voilà qui se muscle les mollets sur les verts pâturages de l’Arzachena Academy en Sardaigne, lieu aussi mystérieux qu’un épisode des Mystères de l’Ouest. Dans cette bourgade où le ballon rond tourne au rythme des cigales, Donnarumma fusionne sueur et sérénité. Tout en paraissant aussi détendu qu’une lasagne au four, il s’apprête à débarquer au PSG tel un super-héros qui débarquerait à Métropolis.
Qu’on se le dise, Donnarumma n’est pas là pour répartir les douceurs du sud ni pour traire les chèvres sarde. Non, il est en mission secrète : une déclaration d’amour continue au PSG, même si ses discussions ressemblent aux roues de vélos qui s’enroulent mais ne se déroulent jamais. Le village l’érige en icône temporaire, bien plus lumineuse qu’une étoile filante, et espère secrètement qu’il booste les ventes de cappuccino local en un clin d’œil.