PSG en folie : un scénario Hollywoodien !…
Lorsque le Paris Saint-Germain décide de virer Liverpool à coups de crampons magiques, il faut s’attendre à du spectacle digne d’une finale de championnat intergalactique. Nos Parisiens, armés de leur collectif brillant et d’un bouclier humain nommé Gianluigi Donnarumma, ont transformé la pelouse d’Anfield en scène de théâtre dramatique. Après une défaite initiale inexplicable (un 0-1 contre l’ordre cosmique), le PSG est revenu tel un dragon soufflant des flammes sur le banc adverse pour égaliser et finalement s’imposer lors de la fusillade aux tirs au but.
Imaginez un peu, Donnarumma, cet alpiniste du football, grimpeur de balles impossibles et dénicheur de tirs à la Raoul Duke, a transformé le match retour en un véritable festival de parades spectaculaires ! Après avoir été accusé à tort et à travers lors de l’aller, Letellier, tel un poète chevalier, a célébré son compagnon comme il se doit. Il a clamé sur les ondes de Radio France que les journalistes avaient été aussi sévères qu’un prof de maths un jour de rentrée.
Quant au retour, que dire ? Notre Gigio s’était mué en pieuvre : tentacules prêtes à happer tout ballon téméraire tentant de traverser la ligne sacrée. Comme les dieux du foot n’étaient pas en reste, deux pénaltys ont été stoppés tels des cafards dans la cuisine d’une maison bien propre, scellant définitivement le destin glorieux du PSG et offrant un aller simple pour des quarts de finale de légende.