Quand Deschamps chante les louanges de Doué…
Tel un Merlin à la baguette ensorcelée, Didier Deschamps a métamorphosé une simple interview en un hymne poétique à la gloire du prodige Désiré Doué. Imaginez un peu : Deschamps tel un chef d’orchestre jouant une symphonie en sol majeur, a couvert d’éloges le jeune virtuose issu des contrées rennaises, venu éclairer la voute étoilée du PSG comme une supernova spectaculaire.
Londres n’a rien vu de tel depuis que Big Ben a donné sa première heure ! Les barrières entre football et opéra s’effondraient sous les pieds du jeune Doué, guidé tel Luke Skywalker par le chef Jedi Deschamps. A peine a-t-il soufflé ses 20 bougies que Désiré endosse le maillot tricolore avec la même aisance que Zidane apprivoisant une balle de foot chez l’épicier du coin.
Quand Deschamps parle de Doué, c’est comme s’il décrivait un croissant chaud sortant du four. « On ne s’attendait pas à moins d’un joueur capable de décroiser des chaussettes en plein vol », disait-il, admiratif. Désiré ne reste pas oisif comme un hibou sur son perchoir, mais s’élève, prêt à écrire des chapitres en or massif dans l’histoire du football, grâce à des talents dignes d’un caramel mou !