Un retour fracassant façon super-héros…

Dans une galaxie footballistique lointaine, appelée « Coupe du Monde des Clubs », le PSG a enfilé son costume de super-héros deux tailles trop grand et pulvérisé l’Inter Miami, avec une victoire éclatante de 4 à 0. Seul Captain Paris, alias Ousmane Dembélé, pouvait orchestrer un tel ballet de balles et donner l’impression que ses pieds avaient une connexion Wi-Fi directe avec le ballon.

Tel un phénix ressuscitant de ses cendres sportives, Dembélé a émergé de la touche comme un chat sautant d’un canapé, pour faire danser la défense de Miami sur un boogie-woogie endiablé. Le héros masqué, blessé jadis par une vilaine crampe cosmique, a retrouvé ses ailes juste à temps pour poser ses griffes sur le terrain, offrant une prestation digne des plus grands majordomes du football.

Lors de son interview post-agitation au micro de DAZN, l’ailier aux accélérations supersoniques a confié sa sagesse : « Chaque marbre a son sculpteur! » En d’autres termes, il a pris le temps de se réparer et de revenir plus frais qu’une menthe à l’eau. L’objectif désormais ? Finir ce Mondial des Clubs en beauté et peut-être décrocher un abonnement à vie pour le royaume du succès sportif !