Quand les Blues jouent au bulldozer…

Dans une finale de Coupe du Monde des Clubs que même Nostradamus n’aurait pas vu venir, le PSG a été dévoré par Chelsea comme un croissant abandonné devant une horde de chats affamés. Le score de 3-0 a résonné dans le Stade comme le bêlement d’un mouton dans un concert de rock. Paris, habitué à faire fondre ses adversaires comme crème au soleil, n’a jamais vu la tempête bleue approcher.

En 2025, c’était comme si la capitale était sur un nuage fait de sacre et de trophées, se promenant d’un titre à l’autre avec une désinvolture digne d’un chat regardant passer les chiens. La chute de la dernière marche en Coupe du Monde des Clubs a fait tomber plus de mâchoires que de frites dans un McDo un vendredi soir. Même Enzo Maresca, l’entraîneur de Chelsea, n’en croyait pas ses yeux, se demandant s’il avait échangé son café du matin avec une potion magique de Panoramix.

« Je respecte le PSG, » a-t-il balbutié, comme un professeur félicitant un élève pour son chaos artistique en cours de poterie. « Je savais que notre équipe était prête à jouer, mais pas à ce point! » Si une chose est certaine, Chelsea n’était pas là pour jouer les figurants mais bien les stars du blockbuster. Et sur une échelle de surprise allant de « oubli de sandwich » à « invasion de martiens », ce match reste gravé dans les annales!