Benoît Cauet décortique le bal des nostalgiques…

Imaginez Benoît Cauet dans sa cuisine, boissons gazeuses à la main, jonglant avec des ballons en mousse pour rejouer ses exploits passés. Oui, mesdames et messieurs, l’ancien as du PSG et d’Inter Milan nous raconte ses réminiscences comme si les ballons étaient cuits au pot-au-feu. Il évoque ses années à l’Inter avec la nostalgie d’un gourmet méditant sur un soufflé qui n’est jamais retombé. C’est un univers où Ronaldo, Baggio, et d’autres géants se lacent les crampons avec du fil d’or sous la baguette de Cauet.

Dans cette fresque récitée par Cauet, l’Inter n’est pas qu’une équipe, c’est une symphonie qui se joue sur les notes parmesanes des vieilles recettes italiennes. Ils se faufilent tel un pesto bien huilé à travers les défenses, avec une détermination digestive à conquérir le monde des spaghetti. Quant au PSG, c’est la brigade enfantine de la baguette parisienne, qui s’élance à la conquête de l’Europe avec la fraîcheur d’un croissant sorti du four. Rien n’est laissé au hasard, surtout pas cette manie d’attendre la dernière minute pour contre-attaquer comme un éclair au chocolat.

Fort de cette labellisation à la gelée royale, Cauet est partagé. Qui de l’Inter ou du PSG emportera la mise dans cette finale en sauce béchamel ? Pour lui, c’est un peu comme choisir entre les escargots et le foie gras au réveillon : un dilemme existentiel assaisonné de rire et de larmes de crocodile. À Munich, il se retrouvera sans doute à gigoter sur sa chaise comme une sardine dans une boîte, en attendant l’instant magique où le ballon scintillera dans le filet. Sacré Cauet, il sait comment nous faire rêver !