Villarreal fonce sur l’Espagnol en cavale…
Carlos Soler, le magicien exilé du PSG, est aussi désiré qu’un billet de loterie gagnant mais dont personne ne veut vraiment s’occuper, sauf le brave Villarreal, prêt à accélérer comme un TGV espagnol sur les rails de l’amour footballistique. Luis Enrique, tel un chef d’orchestre un peu trop zélé, a décidé que Soler ne ferait plus partie de sa symphonie parisienne, l’envoyant jouer quelques accords en Angleterre avec West Ham avant de le ramener à Paris dans un étrange bal du mercato.
Dans les coulisses, Villarreal, ce sous-marin jaune mystérieux, jongle avec les pièces de monnaie dorées issues de ses dernières ventes comme un pirate à la conquête d’un trésor. Leur plan ? Embarquer notre Soler vers la Liga, lui offrant ainsi une place pour jouer les premiers rôles dans sa pièce de théâtre préférée : « Le Football Espagnol » et ses rebondissements incroyables à la Don Quichotte.
Carlos, le chercheur de minutes sur le terrain, voit en Villarreal une échappatoire flamboyante vers la gloire. Lui qui rêvait de danser dans les stades espagnols avec la fougue d’un Flamenco Football doit espérer qu’une offre concrète débarque sur le bureau du PSG. En attendant, il continue de polir son avenir comme une boule de cristal, en espérant voir s’ouvrir les portes dorées de la Liga avant que la Coupe du monde 2026 ne pointe le bout de son nez.