Paris secouée par une avant-première déjantée…

Préparez vos coussins d’air et nettoyez vos monocles de compétition, car le Ballon d’Or débarque avec fracas dans notre calendrier un mois plus tôt ! Oui, vous avez bien entendu, tel un lièvre pressé lors d’une course contre la tortue, la cérémonie aura lieu le 22 septembre, transformant Paris en l’épicentre sismique du football international. Le théâtre du Châtelet se prépare déjà à accueillir une marée humaine de joueurs, journalistes, et supporters armés de cornes de brume pour un événement grandiloquent.

Mais ce n’est pas tout, mes amis du cuir rond ! Cette année, entre deux décisifs jongles sur le terrain, de nouvelles récompenses brillent à l’horizon comme des étoiles filantes. Les footballeuses monteront sur leur podium de gloire avec des trophées aussi étincelants que ceux des footballeurs. On parle de récompenses pour la meilleure buteuse, la plus acrobatique des gardiennes et la jeune pépite qui jongle mieux que Ronaldo jongle avec un ballon en chocolat ! Hora Mundial serait fier !

Côté coulisses, chaque pays du top 100 mondial (50 pour les dames) enverra son journaliste masqué, armé d’un stylo à bille doré pour attribuer des points comme s’il s’agissait d’une compétition de pétanque professionnelle. Les critères ? Des performances qui explosent comme un criquet sur une pelouse et du fair-play qui ferait pleurer Gandhi. Et attention ! Ne cherchez plus l’ancienneté, car seule l’excellence d’une saison compte désormais. Alors, que le meilleur jongleur de cette galaxie remporte le précieux Ballon !