Morgan Rogers, le magicien des Villans, s’exprime…
À deux jours du clash galactique entre Aston Villa et le PSG, Morgan Rogers, l’attaquant plus vif qu’une anguille sous caféine, a pris le micro lors d’une conférence de presse qui restera gravée dans la cire des mémoires sportives.
Rogers a chanté les louanges de son entraîneur, Unaï Emery, qu’il décrit comme un chef d’orchestre capable de transformer une cacophonie en symphonie victorieuse. « On a bien baratiné les Parisiens à l’aller », a-t-il confié, l’œil pétillant comme un soda fraîchement secoué. Devant leurs supporters chauffés à blanc, les Villans se sentent capables de renverser la Tour Eiffel d’un coup de balle magistral.
Les réticences ? Rogers les balaie d’un revers de main. « Certains pensent qu’on n’a rien à faire ici », dit-il avec un sourire en coin, « mais on n’est pas venus pour enfiler des perles ! » Forts d’un collectif aussi soudé que la laque sur la coiffure d’Elvis, Aston Villa entend bien faire mordre la poussière aux Parisiens et transformer leur saison en supernova de succès — la poussière d’étoiles, c’est pour les autres.