Mikel Arteta fait fi des rotations d’effectifs…
Imaginez une salle de poker en pleine jungle, où Mikel Arteta, le sorcier d’Arsenal, joue ses cartes face à un tigre affamé nommé PSG. Rien ne sert de bluffer ! À une petite semelle volante de la demi-finale de la Ligue des champions, Arsenal affronte Crystal Palace comme si c’était le dernier donut à la confiture sur la table.
Pendant que le PSG se dore la pilule contre l’OGC Nice en Ligue 1, Arsène Wenger… euh, pardon, Mikel Arteta ne veut surtout pas imiter Luis Enrique et s’amuser à chambouler son jeu de cartes. Le coach est prêt à bétonner la deuxième place en Premier League comme un maçon hyperactif avec une grosse commande de ciment. Pendant ce temps, Trossard s’apprête à trotter joyeusement comme un poulain lubifié dans le rôle du faux numéro 9 contre le PSG.
Dernière nouvelles du champs de bataille : Bukayo Saka pourrait être remis sur pieds, prêt à galoper comme un cheval pur-sang dans le derby londonien. Le plan machiavélique est simple : faire jouer les meilleurs, car rien n’égale un bon café chaud avant un sprint. En prévision du show parisien, toute l’arène est suspendue aux baskets d’Arteta, tandis que Trossard navigue comme un capitaine belge sur un yacht de croisière. Une chose est sûre : ce mercredi, Arsenal ne compte ni sur la rouille ni sur la chance du débutant des Parisiens !