Lézard bleu contre prince parisien…
Hier soir, sous un ciel de projecteurs plus éclatant que la boule à facettes d’une boîte de nuit, Chelsea a fait trembler la planète football ! Comme un dragon en furie avalant un château de cartes, les Blues ont broyé l’invincibilité de Luis Enrique en finale de Coupe du Monde des Clubs contre le PSG. Un match digne d’un film d’action où Enrique, le Sherlock Holmes des finales, a vu sa série gagnante dissipée comme une mousse de cappuccino face à une cuillère dorée.
Le magicien Enrique, dont la baguette magique cartonnait depuis des siècles lumière en finales, a vu ses sortilèges se désintégrer sous la charge des Londoniens plus féroces qu’un troupeau de moutons déchaînés. Chelsea, en mode « mission impossible », a enchaîné les passes et frappes avec la précision d’un horloger suisse, brisant le mur parigot de la Défense comme du chocolat à fondue. Le stade a vibré d’une tension si palpable qu’on aurait pu la couper au couteau à beurre.
Pour Chelsea, c’est un saut du plongeoir olympique vers les étoiles du foot mondial ; pour le PSG, une tasse amère d’expresso après un festin salé. Et Enrique, tel un sphinx toujours vaillant, se préparera sûrement à ressurgir tel un phénix. Les pages du football s’écrivent et se réécrivent, prêtant une mélodie infinie au clair de lune sur le champ de bataille du ballon rond.