Al-Khelaïfi, le White Knight de Paris !…
Imaginez un film de kung-fu avec Luis Enrique en superstar de l’action ! C’est exactement ce qui s’est passé au MetLife Stadium, transformé en ring de boxe, lors d’une échauffourée digne d’une telenovela mexicaine après la défaite du PSG face à Chelsea, 0-3. Enrique, se prenant pour un agent de la paix en kimono, a tenté de séparer les gladiateurs sur pelouse, et s’est retrouvé lui-même dans la tourmente. « J’ai juste voulu jouer les pompiers! » a-t-il déclaré, avec l’innocence d’un chaton pris dans une chaussette. Sauf que l’ex-roublard espagnol a fini par toucher le comédien João Pedro, qui s’est effondré comme une étoile de cinéma silencieuse.
Nasser al-Khelaïfi, le preux chevalier du PSG, a prestement volé au secours de son entraîneur adoré, brandissant son bouclier médiatique. « Luis, c’est un moine Shaolin du foot, » a-t-il martelé, « Il a simplement protégé nos preux guerriers des dégâts d’une mêlée sauvage. » Ses propos vibrants ont résonné dans la grande enceinte, tel un banquet médiéval repris en cœur par tous les bardes parisiens. Al-Khelaïfi n’a pas manqué de souligner le respect qu’envers l’entraîneur du PSG est digne des plus sages du royaume du football.
Sur les traces d’un penalty émotionnel, Luis Enrique a lâché, tel un Socrate moderne à son Platon de staff : « Je suis nigaud. » Mais un nuage plane : la FIFA, cet œil de Sauron, décidera-t-elle d’illuminer ou d’ombrager la carrière de notre Enrique acrobatique ? Pendant ce temps, au café des Sports des Enfants de Paris, les supporters échangent rires et hypothèses savoureuses autour de chopes de chocolat chaud.