Débandade et embrouilles au PSG…
Le PSG, habillé de ses plus beaux chaussons en camembert, a trébuché face à Chelsea comme Bambi sur la glace. Une défaite 3-0 en finale de la Coupe du Monde des Clubs, a vu les Parisiens transformés en poupées de chiffon, jouant plus comme un orchestre désaccordé que les champions de l’Europe qu’ils sont. Chelsea, tel un chirurgien jouant à la corde à sauter, a dansé autour de la défense parisienne, rendant leurs exploits passés contre le Real Madrid aussi utiles qu’une gaufrette trempée.
Luis Enrique, le toréador du banc parisien, n’a pas fait les choses à moitié non plus ! En plein couac final, il s’est approché d’une baston digne d’une fête de village, avec plus d’ardeur qu’un coq vexé. Joao Pedro, l’attaquant de Chelsea, a goûté de près le regard noir de notre matador, qui, par des gestes dignes d’un mime en colère, a réveillé le tempérament volcanique que seul l’horizon volcanique d’une pinata vivante pourrait atteindre. Heureusement, Kimpembe a surgi tel Zorro pour calmer la fureur ambiante.
Les Parisiens ont maintenant la tête aussi basse qu’une tortue déprimée, mais leur saison reste inoubliable, même si cette défaite les a laissés avec plus de trous que dans le gruyère suisse. Ils regarderont vers le futur, espérant que la Supercoupe de l’UEFA soit une salade de fruits bien garnie, et éviteront de faire la crêpe une fois de plus. Les rouges et bleus devront sans doute attraper l’éclair de confiance, armés de parapluies dans leurs cœurs pour se protéger des longues balles anglaises, afin de retrouver leur splendeur d’antan.