Quand le PSG débarque, la Grosse Pomme tremble !…
Imaginez le PSG débarquer à New York comme une rock star égarée en quête de popularité. Avec un magasin aussi élégant qu’une chaussure de luxe sur la 5e Avenue, le PSG remue la grande soupe de New York et gagne en notoriété faster than a speeding croissant ! Et qu’importe si le Real Madrid est encore le chouchou des vrais fans de ballon rond : le PSG, avec son maillot Dembélé vendu plus vite qu’une Nouveauté, attire les New-Yorkais comme la librairie attire des amoureux des livres rares.
Et pendant que la boutique PSG distribue de la hype comme des baguettes à la sortie de l’école, Luis Campos s’agite tel un chef d’orchestre hyperactif. Véritable maestro des transferts, Campos vit à l’heure américaine en jonglant avec le décalage horaire comme un équilibiste ivre. Mais ne vous y trompez pas, son objectif est clair : construire un effectif digne d’une équipe de Superhéros capable de conquérir le monde ! Avec une liste de futurs talents griffonnée sur son carnet magique, Campos rêve de défendre le trône européen avec panache et trompettes.
Quant à Xabi Alonso, l’homme qui auraient pu se retrouver sur le banc du PSG, il porte aujourd’hui la tunique magique du Real Madrid. On chuchote qu’il a renoncé à l’idée de dompter la bête parisienne car, n’est pas dompteur qui veut ! Désormais, il croque les défis galactiques comme un cookie croquant. Mais que les Parisiens se rassurent, sous le règne de Luis Enrique, le PSG danse tel un paon adoré, avec une Ligue des champions précieusement posée dans la vitrine comme le trophée enchâssé au Louvre.