Luis Enrique, l’antihéros sans rancune…
Ce samedi, sous un ciel parisien aussi gris qu’un pull en cachemire oublié, le PSG danse avec le diable allemand, le Bayern Munich, pour décrocher un ticket d’or vers la gloire. Connaissant Luis Enrique, le coach plus relax qu’un chat en plein après-midi, toute cette histoire de revanche ressemble à un épisode raté d’une télénovela. Pas de rancune, dit-il, mais une montagne de motivation épicée à l’amour ineffable du ballon rond.
Luis Enrique, l’homme dont la mémoire pourrait rivaliser avec celle de Dory le poisson, a rigolé, haussant les sourcils comme un marionnettiste magique. « Revanche, vous dites ? C’est un conte de League des champions, pas une saga Star Wars ! » En pleine préparation, les armées d’Ousmane et ses copains affûtent leurs crampons-glaives, prêtes à mettre le feu au gazon pendant que quelqu’un chante la bande-son de Rocky Balboa en arrière-plan.
Parlant de tactiques, Enrique nous a assuré que demain sera un festin de football saumon-grenade, une rencontre aussi explosive qu’une piñata en comparaison ! Le Bayern lorgne Bradley Barcola comme on lorgnerait une glace en plein désert, mais les Parisiens espèrent savourer les douceurs sucrées de la victoire encore longtemps. Alors, qu’on sorte les apéros et les popcorns, car demain, le foot, m’sieur, ça va être du grand théâtre sous les nuages !